SOS Ados connectés-Manuel de survie pour parents dépassés (mais pas largués)

Dans cet article, découvrez des conseils pratiques pour aider les parents à comprendre l'impact des réseaux sociaux sur leurs ados connectés . Avec une approche bienveillante et des stratégies simples, apprenez à mieux les accompagner dans leur vie numérique et à promouvoir l'équilibre .

L'ESSENCE ADO

Alexandra Dumoulin

1/7/2025

SOS Ados Connectés

Non, votre ado n'est pas possédé par son smartphone. Promis, on va démêler tout ça !

Il est 17h dans mon cabinet. Emma, 14 ans, s'effondre dans le fauteuil comme si elle venait de courir un marathon digital. Son téléphone, tel un extension de sa main, clignote frénétiquement. "Je sais que je devrais moins y être", soupire-t-elle, "mais c'est comme si toute ma vie était là-dedans". Et vous savez quoi ? Elle n'a pas complètement tort - mais elle n'a pas non plus complètement raison.

Comprendre ce qui se joue dans le cerveau de nos ados

Pour comprendre ce phénomène, observons les mécanismes physiologiques et psychologiques à l'œuvre. Le cerveau adolescent traverse une période de restructuration majeure, comparable à un chantier de rénovation d'envergure. Durant cette période, trois éléments essentiels entrent en jeu :

Selfies et construction personnelle : Qui suis-je vraiment ?

À l’adolescence, le cerveau se transforme en véritable architecte de l’identité. Et quoi de mieux qu’Instagram ou TikTok pour questionner les fondations ? Chaque selfie, chaque story, chaque "follow" devient une pièce du puzzle "Moi, version 2.0". Parfois, c’est une œuvre d’art en devenir, parfois une expérimentation un peu bancale – mais c’est ça, grandir. Et si ça passe par trois filtres et une pose "spontanée", qu’il en soit ainsi !

Le jackpot des likes : pourquoi ils ne lâchent plus leur écran ?

Le cerveau adore la dopamine, vous savez ce neurotransmetteur qui nous donne du plaisir. Imaginez qu’une notification ou un "like" soit l’équivalent numérique d’un bonbon ultra-sucré : difficile de résister, non ? Chaque fois qu’ils scrollent et reçoivent une validation sociale, leur cerveau crie "Jackpot !". Résultat ? Il en redemande, et ils cliquent, scrollent, postent… Boum, la boucle de plaisir est activée via les réseaux qui deviennent le distributeur automatique de dopamine.

Une tribu à portée de clic

À cet âge, appartenir à un groupe, c’est la mission prioritaire.. Et là, les réseaux sociaux débarquent avec une offre irrésistible : une connexion H24 avec les copains, la possibilité de créer des clans (hello les groupes WhatsApp), et ce doux sentiment de ne jamais être seul. Forcément, ça colle pile poil avec leur besoin de faire partie d’un groupe,, un peu comme: "Je suis là, et je fais partie de quelque chose”.

Au-delà du "Pose ce téléphone !" : Une question de qualité de contenu

Arrêtez-moi si vous avez déjà entendu celle-là : "De mon temps, on savait s'amuser SANS les écrans !" (Oui, et de votre temps, on savait aussi vivre sans machine à laver, mais bizarrement, personne ne propose de revenir à la pierre du lavoir...)

Le temps passé sur les écrans n'est qu'un indicateur superficiel du bien-être numérique de nos adolescents. Ce qui compte vraiment, c'est la qualité de ce qu'ils consomment. Un peu comme dans l'assiette : passer des heures à avaler des vidéos toxiques ou des posts qui complexent, c'est comme engloutir des burgers bien gras et des sodas ultra-sucrés à longueur de journée. Ça peut sembler satisfaisant sur le moment, mais à long terme, ça finit par peser (et pas seulement sur la balance émotionnelle). En revanche, des contenus inspirants nourrissent bien plus, à l'image d'un repas équilibré et c’est bien plus structurant par la suite.

Photo d'une adolescente assise qui tient le combiné d'un téléphone du XXe siècle
Photo d'une adolescente assise qui tient le combiné d'un téléphone du XXe siècle

Photo de KoolShooters

SOS Ados Connectés

Non, votre ado n'est pas possédé par son smartphone. Promis, on va démêler tout ça !

Il est 17h dans mon cabinet. Emma, 14 ans, s'effondre dans le fauteuil comme si elle venait de courir un marathon digital. Son téléphone, tel un extension de sa main, clignote frénétiquement. "Je sais que je devrais moins y être", soupire-t-elle, "mais c'est comme si toute ma vie était là-dedans". Et vous savez quoi ? Elle n'a pas complètement tort - mais elle n'a pas non plus complètement raison.

Comprendre ce qui se joue dans le cerveau de nos ados

Pour comprendre ce phénomène, observons les mécanismes physiologiques et psychologiques à l'œuvre. Le cerveau adolescent traverse une période de restructuration majeure, comparable à un chantier de rénovation d'envergure. Durant cette période, trois éléments essentiels entrent en jeu :

Selfies et construction personnelle : Qui suis-je vraiment ?

À l’adolescence, le cerveau se transforme en véritable architecte de l’identité. Et quoi de mieux qu’Instagram ou TikTok pour questionner les fondations ? Chaque selfie, chaque story, chaque "follow" devient une pièce du puzzle "Moi, version 2.0". Parfois, c’est une œuvre d’art en devenir, parfois une expérimentation un peu bancale – mais c’est ça, grandir. Et si ça passe par trois filtres et une pose "spontanée", qu’il en soit ainsi !

Le jackpot des likes : pourquoi ils ne lâchent plus leur écran ?

Le cerveau adore la dopamine, vous savez ce neurotransmetteur qui nous donne du plaisir. Imaginez qu’une notification ou un "like" soit l’équivalent numérique d’un bonbon ultra-sucré : difficile de résister, non ? Chaque fois qu’ils scrollent et reçoivent une validation sociale, leur cerveau crie "Jackpot !". Résultat ? Il en redemande, et ils cliquent, scrollent, postent… Boum, la boucle de plaisir est activée via les réseaux qui deviennent le distributeur automatique de dopamine.

Une tribu à portée de clic

À cet âge, appartenir à un groupe, c’est la mission prioritaire.. Et là, les réseaux sociaux débarquent avec une offre irrésistible : une connexion H24 avec les copains, la possibilité de créer des clans (hello les groupes WhatsApp), et ce doux sentiment de ne jamais être seul. Forcément, ça colle pile poil avec leur besoin de faire partie d’un groupe,, un peu comme: "Je suis là, et je fais partie de quelque chose”.

Au-delà du "Pose ce téléphone !" : Une question de qualité de contenu

Arrêtez-moi si vous avez déjà entendu celle-là : "De mon temps, on savait s'amuser SANS les écrans !" (Oui, et de votre temps, on savait aussi vivre sans machine à laver, mais bizarrement, personne ne propose de revenir à la pierre du lavoir...)

Le temps passé sur les écrans n'est qu'un indicateur superficiel du bien-être numérique de nos adolescents. Ce qui compte vraiment, c'est la qualité de ce qu'ils consomment. Un peu comme dans l'assiette : passer des heures à avaler des vidéos toxiques ou des posts qui complexent, c'est comme engloutir des burgers bien gras et des sodas ultra-sucrés à longueur de journée. Ça peut sembler satisfaisant sur le moment, mais à long terme, ça finit par peser (et pas seulement sur la balance émotionnelle). En revanche, des contenus inspirants nourrissent bien plus, à l'image d'un repas équilibré et c’est bien plus structurant par la suite.

Photo d'une adolescente assise qui tient le combiné d'un téléphone du XXe siècle
Photo d'une adolescente assise qui tient le combiné d'un téléphone du XXe siècle

Photo de KoolShooters

Les signaux d'alerte ou "Comment savoir si votre ado a besoin d'une détox digitale sans passer pour un boomer”

En tant que sophrologue spécialisée, j'ai identifié plusieurs signes qui méritent notre attention particulière. N’y voyez pas de diagnostic, ce n’est pas de mon ressort, mais je vous invite à prendre un instant pour considérer ces signaux comme l’expression d’un déséquilibre intérieur :

Quand le corps tire la sonnette d’alarme :

  • Troubles du sommeil qui apparaissent

  • Tensions musculaires, particulièrement dans la nuque et les épaules

  • Maux de tête de plus en plus fréquents

Montagnes russes intérieures :

  • Anxiété qui grimpe en flèche

  • Fluctuations émotionnelles importantes liées aux interactions en ligne et sautes d’humeur.

  • Impression de vide intersidéral dès que l’écran est posé

L'Exercice de reconnexion sensorielle (ou comment rebooter un ado )

Préambule : Non, il ne s'agit pas d'une séance d'exorcisme digital, mais presque aussi efficace ! N’hésitez pas à lui partager cet outil qui lui est entièrement dédié !

  1. La Vue (parce que les yeux ne servent pas qu'à mater des stories)

    • Fermez les yeux (oui, comme un ordinateur qui redémarre)

    • Rouvrez-les et observez 5 choses dans votre environnement comme si vous débarquiez d'une autre planète

    • Détaillez leurs couleurs, leurs formes, leurs ombres... Prenez le temps pour vous !

  2. L'Ouïe

    • Tendez l'oreille , yeux fermés

    • Identifiez 4 sons différents : proches, lointains, continus, intermittents

    • Essayez de les classer du plus doux au plus fort (comme une playlist, mais IRL)

  3. Le Toucher (100% réel )

    • Explorez 3 textures différentes autour de vous, yeux fermés toujours

    • Massez doucement vos trapèzes (ces muscles qui supportent le poids de vos dramas numériques)

    • Sentez le contact de vos pieds avec le sol (oui, la gravité existe toujours)

  4. L'Odorat (parce que Snapchat n'a pas encore inventé les filtres olfactifs)

    • Respirez profondément et identifiez 2 odeurs dans votre environnement

    • Si vous ne sentez rien, c'est le moment d'ouvrir la fenêtre (l'air frais, ce truc fou qui existe en vrai)

  5. Le Goût, sans filtre

    • Prenez une gorgée d'eau comme si c'était le dernier verre de la galaxie

    • Ressentez sa température, sa fraîcheur, sa texture sur votre langue

    • Avalez consciemment

Le Grand Final :

  • Étirez-vous comme un chat

  • Prenez trois respirations profondes, comme si vous rechargiez votre batterie interne

  • Ouvrez les yeux sur un monde en 8K naturel, sans RTX

  • Notez chaque sensation qui vous traverse , une pensée, une émotion, une couleur. Rien n’est trop petit et tout est juste 🙂

Conseils pour parents en PLS

En tant que sophrologue, je propose aux parents d’y aller calmement, avec une approche en trois étapes simples et efficaces :

1. Une observation tout en douceur

Avant de vouloir changer quoi que ce soit, prenez un petit temps pour observer tranquillement comment votre ado utilise ses écrans. Pas besoin de jouer les espions ! Regardez simplement à quels moments ils se connectent, ce qui les fait sourire ou, au contraire, soupirer. Bref, soyez curieux sans juger hâtivement.

2. Des discussions qui font mouche

Plutôt que de vous lancer dans un interrogatoire façon FBI, ouvrez un vrai dialogue. Un simple : "Qu’est-ce que tu trouves cool sur cette appli ?" peut mener à une conversation super enrichissante. Oubliez les : "Pourquoi tu es encore sur ton téléphone ?" (on sait tous comment ça finit...). Et ne faites pas semblant : intéressez-vous franchement à ce qu’il aime (même si l’influenceur qu’il adule vous semble débile).

3. Des alternatives qui donnent envie

Et si vous proposiez des activités aussi fun que les écrans ? Préparer une soirée crêpes en famille, bricoler ensemble, ou même tester une recette TikTok IRL... L’idée, ce n’est pas de bannir les écrans, mais de montrer que le monde hors ligne peut être tout aussi captivant (voire plus !)

Conclusion : la lumière (naturelle) au bout du tunnel

Après bien des séances à accompagner des ados dans cette jungle numérique, je reste optimiste. Non, votre enfant ne deviendra pas un zombie digital. Oui, il y a une vie après TikTok. Et non, vous n'êtes pas un mauvais parent parce que votre ado préfère parfois son téléphone à une partie de Scrabble en famille.

Le plus important est de garder en tête que cette génération n'est pas "perdue" - elle explore simplement un territoire que nous découvrons tous ensemble. Et si parfois vous vous sentez largués, rappelez-vous que vos parents ont probablement ressenti la même chose quand vous passiez des heures au téléphone fixe (vous savez, ce truc avec un fil qui vous obligeait à faire des contorsions pour avoir un semblant d'intimité dans le couloir 😉).

Photo d'une dame et une adolescente qui font un selfie
Photo d'une dame et une adolescente qui font un selfie

Photo de Anastasia Shuraeva

Sources :

-Neurosciences de l'Adolescence, Université Paris Cité

-Enquête du Centre d'Information et de Documentation Jeunesse (CIDJ), Juin 2024 :bien-vivre/sa-vie-numerique/quand-les-reseaux-sociaux-captivent-la-jeunesse

-Digital 2024 Global Overview Report

Les signaux d'alerte ou "Comment savoir si votre ado a besoin d'une détox digitale sans passer pour un boomer”

En tant que sophrologue spécialisée, j'ai identifié plusieurs signes qui méritent notre attention particulière. N’y voyez pas de diagnostic, ce n’est pas de mon ressort, mais je vous invite à prendre un instant pour considérer ces signaux comme l’expression d’un déséquilibre intérieur :

Quand le corps tire la sonnette d’alarme :

  • Troubles du sommeil qui apparaissent

  • Tensions musculaires, particulièrement dans la nuque et les épaules

  • Maux de tête de plus en plus fréquents

Montagnes russes intérieures :

  • Anxiété qui grimpe en flèche

  • Fluctuations émotionnelles importantes liées aux interactions en ligne et sautes d’humeur.

  • Impression de vide intersidéral dès que l’écran est posé

L'exercice de reconnexion sensorielle (ou comment rebooter un ado )

Préambule : Non, il ne s'agit pas d'une séance d'exorcisme digital, mais presque aussi efficace ! N’hésitez pas à lui partager cet outil qui lui est entièrement dédié !

  1. La Vue (parce que les yeux ne servent pas qu'à mater des stories)

    • Fermez les yeux (oui, comme un ordinateur qui redémarre)

    • Rouvrez-les et observez 5 choses dans votre environnement comme si vous débarquiez d'une autre planète

    • Détaillez leurs couleurs, leurs formes, leurs ombres... Prenez le temps pour vous !

  2. L'Ouïe

    • Tendez l'oreille , yeux fermés

    • Identifiez 4 sons différents : proches, lointains, continus, intermittents

    • Essayez de les classer du plus doux au plus fort (comme une playlist, mais IRL)

  3. Le Toucher (100% réel )

    • Explorez 3 textures différentes autour de vous, yeux fermés toujours

    • Massez doucement vos trapèzes (ces muscles qui supportent le poids de vos dramas numériques)

    • Sentez le contact de vos pieds avec le sol (oui, la gravité existe toujours)

  4. L'Odorat (parce que Snapchat n'a pas encore inventé les filtres olfactifs)

    • Respirez profondément et identifiez 2 odeurs dans votre environnement

    • Si vous ne sentez rien, c'est le moment d'ouvrir la fenêtre (l'air frais, ce truc fou qui existe en vrai)

  5. Le Goût, sans filtre

    • Prenez une gorgée d'eau comme si c'était le dernier verre de la galaxie

    • Ressentez sa température, sa fraîcheur, sa texture sur votre langue

    • Avalez consciemment

Le Grand Final :

  • Étirez-vous comme un chat

  • Prenez trois respirations profondes, comme si vous rechargiez votre batterie interne

  • Ouvrez les yeux sur un monde en 8K naturel, sans RTX

  • Notez chaque sensation qui vous traverse , une pensée, une émotion, une couleur. Rien n’est trop petit et tout est juste 🙂

Conseils pour parents en PLS

En tant que sophrologue, je propose aux parents d’y aller calmement, avec une approche en trois étapes simples et efficaces :

1. Une observation tout en douceur

Avant de vouloir changer quoi que ce soit, prenez un petit temps pour observer tranquillement comment votre ado utilise ses écrans. Pas besoin de jouer les espions ! Regardez simplement à quels moments ils se connectent, ce qui les fait sourire ou, au contraire, soupirer. Bref, soyez curieux sans juger hâtivement.

2. Des discussions qui font mouche

Plutôt que de vous lancer dans un interrogatoire façon FBI, ouvrez un vrai dialogue. Un simple : "Qu’est-ce que tu trouves cool sur cette appli ?" peut mener à une conversation super enrichissante. Oubliez les : "Pourquoi tu es encore sur ton téléphone ?" (on sait tous comment ça finit...). Et ne faites pas semblant : intéressez-vous franchement à ce qu’il aime (même si l’influenceur qu’il adule vous semble débile).

3. Des alternatives qui donnent envie

Et si vous proposiez des activités aussi fun que les écrans ? Préparer une soirée crêpes en famille, bricoler ensemble, ou même tester une recette TikTok IRL... L’idée, ce n’est pas de bannir les écrans, mais de montrer que le monde hors ligne peut être tout aussi captivant (voire plus !)

Conclusion : la lumière (naturelle) au bout du tunnel

Après bien des séances à accompagner des ados dans cette jungle numérique, je reste optimiste. Non, votre enfant ne deviendra pas un zombie digital. Oui, il y a une vie après TikTok. Et non, vous n'êtes pas un mauvais parent parce que votre ado préfère parfois son téléphone à une partie de Scrabble en famille.

Le plus important est de garder en tête que cette génération n'est pas "perdue" - elle explore simplement un territoire que nous découvrons tous ensemble. Et si parfois vous vous sentez largués, rappelez-vous que vos parents ont probablement ressenti la même chose quand vous passiez des heures au téléphone fixe (vous savez, ce truc avec un fil qui vous obligeait à faire des contorsions pour avoir un semblant d'intimité dans le couloir 😉).

Photo d'une dame et une adolescente qui font un selfie
Photo d'une dame et une adolescente qui font un selfie

Photo de Anastasia Shuraeva

Sources :

-Neurosciences de l'Adolescence, Université Paris Cité

-Enquête du Centre d'Information et de Documentation Jeunesse (CIDJ), Juin 2024 :bien-vivre/sa-vie-numerique/quand-les-reseaux-sociaux-captivent-la-jeunesse

-Digital 2024 Global Overview Report

À propos...

Hello, je suis Alexandra Dumoulin, sophrologue engagée pour les enfants et les adolescents. C'est avec pep's et dans un climat de confiance que

je les accompagne à évoluer les yeux fermés.

Alexandra Dumoulin

Sophrologue EI - Enfants & Adolescents

263, rue Nelson Mandela, 01630-France

SIRET : 98303562700022

Contactez-moi /Laissez un avis

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Portrait d'Alexandra Dumoulin EI
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